lundi 16 juin 2008

On c'est jamais rendu ...

La pluie à repris de plus belle, le froid nous transperce jusqu'au os. Nous nous sommes arrêtés pour s'équipé dans le temple de l'homme moderne ; le CanadianTire. C'est munis d'un imperméable bon marché et de très chique bottes d'eau que nous sommes repartis du magasin. Nous avions à peine dix kilomètres de fait que ma monture décida tout bonnement de s'éteindre en pleine course. Pris de panique je m'arrêtes sur le coté de l'autoroutes, on pourrait dire que la moto n'est pas imperméable, de l'eau c'est introduit dans le moteur, heureusement après quelques tentatives elle repart mais elle fonctionne sur un seul piston. J'ai pas le choix je doit avancer.

C'est donc à un rythme d'escargot que je poursuivis ma route. L'imperméable se décompose, des lambeaus s'en détache. La pluie cessas, le moteur sécha je retrouva mon deuxième piston. Le rythme s'accelera, nous devons maintenant nous soucier des radards. La circulation ce fait de plus en plus dense. La voie de gauche réservé au dépassment : est-ce une légende urbaine ? J'ai l'impression que les cageux se sont tous stationner dans la voie de gauche. Je suis patient, j'attends au moins trente secondes derrières chaque auto qui reste collé à la voie de gauche, ensuite je donne un exemple sur comment changer de voie par la droite. À la moitier du chemin la circulation est trop dense, plus personne me laisse passer. Je dois maintenant me trouver un trous, un espace espace de cinquante cm est emplement suffisant, je m'invente une voie qui ne laisse pas droit à l'erreur, au moins dans celle-ci je suis seul, vous connaissez la voie à gauche de la voie de gauche ? J'oses pas imaginer le nombre de penser malsaine qui mon été attribué, cela m'importe peu, ils n'avaient que se tasser.


Je suis derrière une van, une vrai van de 45 pieds, je voie ses roues de dérrières comme un broyeur à motard, bien entendu elle ne bouge pas de sa voie, regarde pour passé à gauche, c'est trop serrer, à droite il me semble qu'il y a un espace suffisant, je rétrograde en cinquième, j'envoie une bonne dose de ce liquide explosif au moteur, ma roue arrière me propulse entre la van et une camionnette tous va bien. Je regarde alors au loins, je vois une voiture blanche plutôt familière stationné sur le coté de la voie ; un radard ! Je saute sur les freins ma roue avant se bloque, ma roue arriére continue elle d'avancer ce qui fait tanguer la moto de gauche à droite. Je n'ai plus le contrôle à ma gauche le broyeur, à ma droite la camionette, à son bord une petite famille innocente, le choix est clair le broyeur. Tout deviens noir, puis blanc, blanc comme le pafond de ma chambre, que c'est-il passé ? Je veins de me réveiller, tous ceci n'était qu'un rêve, juste un rêve.

4 commentaires:

Sharl a dit…

La voie de gauche réservé au dépassement? haha pas dans mon coin entout cas! Je ne suis pas un gars de moto mais ton blogue me donne envie de me procurer un petit bolide (pas trop sport plus genre moto de ville) juste pour me déplacer un peu sans consommer trop d'essence. Et devant ma moto je metterais de cornes de taureau comme sur les cadillac de red-necks. Pis je ferais jouer Bad to the Bones avec mes lunettes de chips.Coooooool. Mais je le ferais pas car je sens que ma blonde me donnerais un beau 4%.

Garnier_helene a dit…

Tient, juste pour toi cher passionné de la moto : moto et motard

a.Mathieu a dit…

sharl :
pour ta culture personnel :
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9passement

;)

JFL a dit…

Gang de MA-LADES!!!

J'étais complètement fasciné par cet extrait, même si je m'opposais carrément à ce qu'ils étaient en train de faire.

Débile, débile, débiles...dans tous les sens du mot.