jeudi 19 juin 2008

lumière, manteau et gant !


Pour me rendre au cégep je dois emprunté le boulevard pie-ix, je crois que c'est le boulevard ayant le plus de lumières au Québec. Je suis persuader que les urbanistes ce sont assis autour d'une table et on tous bonnement décidés de placer un nombre records de lumières sur une même artère !

Je porte toujours mon manteau de cuir quand je roule en moto beau temps mauvais temps, pendant que je roule c'est correct par contre il ne faut pas rester arrêté trop longtemps car la température monte très rapidement.

Récement je me suis commandé une pair de gant via internet. Je dois vous l'avouer c'était mon premier achat sur le web. J'ai commandé directement d'Alpinestar ( la marque des gants ). Imaginer vous donc que le livreur na pas trouver mon appartement et que j'ai dû rester dans mon salon à l'attendre toute la journée... mais bon j'ai finalement reçu mes gants et j'en suis très satisfait !

lundi 16 juin 2008

On c'est jamais rendu ...

La pluie à repris de plus belle, le froid nous transperce jusqu'au os. Nous nous sommes arrêtés pour s'équipé dans le temple de l'homme moderne ; le CanadianTire. C'est munis d'un imperméable bon marché et de très chique bottes d'eau que nous sommes repartis du magasin. Nous avions à peine dix kilomètres de fait que ma monture décida tout bonnement de s'éteindre en pleine course. Pris de panique je m'arrêtes sur le coté de l'autoroutes, on pourrait dire que la moto n'est pas imperméable, de l'eau c'est introduit dans le moteur, heureusement après quelques tentatives elle repart mais elle fonctionne sur un seul piston. J'ai pas le choix je doit avancer.

C'est donc à un rythme d'escargot que je poursuivis ma route. L'imperméable se décompose, des lambeaus s'en détache. La pluie cessas, le moteur sécha je retrouva mon deuxième piston. Le rythme s'accelera, nous devons maintenant nous soucier des radards. La circulation ce fait de plus en plus dense. La voie de gauche réservé au dépassment : est-ce une légende urbaine ? J'ai l'impression que les cageux se sont tous stationner dans la voie de gauche. Je suis patient, j'attends au moins trente secondes derrières chaque auto qui reste collé à la voie de gauche, ensuite je donne un exemple sur comment changer de voie par la droite. À la moitier du chemin la circulation est trop dense, plus personne me laisse passer. Je dois maintenant me trouver un trous, un espace espace de cinquante cm est emplement suffisant, je m'invente une voie qui ne laisse pas droit à l'erreur, au moins dans celle-ci je suis seul, vous connaissez la voie à gauche de la voie de gauche ? J'oses pas imaginer le nombre de penser malsaine qui mon été attribué, cela m'importe peu, ils n'avaient que se tasser.


Je suis derrière une van, une vrai van de 45 pieds, je voie ses roues de dérrières comme un broyeur à motard, bien entendu elle ne bouge pas de sa voie, regarde pour passé à gauche, c'est trop serrer, à droite il me semble qu'il y a un espace suffisant, je rétrograde en cinquième, j'envoie une bonne dose de ce liquide explosif au moteur, ma roue arrière me propulse entre la van et une camionnette tous va bien. Je regarde alors au loins, je vois une voiture blanche plutôt familière stationné sur le coté de la voie ; un radard ! Je saute sur les freins ma roue avant se bloque, ma roue arriére continue elle d'avancer ce qui fait tanguer la moto de gauche à droite. Je n'ai plus le contrôle à ma gauche le broyeur, à ma droite la camionette, à son bord une petite famille innocente, le choix est clair le broyeur. Tout deviens noir, puis blanc, blanc comme le pafond de ma chambre, que c'est-il passé ? Je veins de me réveiller, tous ceci n'était qu'un rêve, juste un rêve.

dimanche 15 juin 2008

La route , la guerre et ma maman



Il est 15h30, le jour de la fête des mères, nous sommes à Québec, il pleut à torrents. Je regarde mon frère, je vois dans son regard soucieux un air sceptique, mais pourquoi ? Lui qui habituellement est le premier à parler a quelle point sa peut se faire rapidement, pourtant la route est toute simple la 40 ; une longue et interminable route en ligne droite, les obstacles son mineur : les cageux, les radars, la police et pour cette fois-ci la pluie. Je fini d'avaler ma dose de caféine, je me lève de la table du St-hubert qui nous à servie de refuge, enfile un manteau de cuire qui est toujours aussi détrempé qu'a notre arrivé, j'essuie de mon mieux mon casque avec les serviettes que la serveuse nous a gentiment donnée en nous regardants comme si nous partions pour le débarquement de la Normandie ... Je regarde dehors, la pluie c'est enfin décidé à calmer ses ardeurs, nous avons peut-être une chance d'y arriver. Nous avons promis à notre mère d'être là pour le traditionnel souper de la fête des mères, je suis pas le genre à ne pas respectée ma parole, nous devons arrivé à temps ! Il le faut. La suite demain...

jeudi 12 juin 2008

A deux c'est bien mieux !


J'aime ma blonde et ma moto, je me suis donc dit que sa serait une bonne idée de mettre ensemble ces deux éléments. Après avoir réinstaller la poignes arrières sur la moto et installé mon support à plaque d'origine ( qui donne un style ma foie absolument affreux à la moto ) je décida d'aller chercher ma copine à son travail pour lui faire un premier petit tour de moto, cela fessait déjà quelque temps qu'elle me le réclamait. C'est avec la plus grande prudence que nous nous sommes balader un gros quinze minutes dans la belle ville de St-Jérome. Le verdict elle a adorée ! ce qui me rends très heureux de pouvoir pratiquer mon sport favoris à deux !

vendredi 6 juin 2008

J'ai eu mon permis !

Et oui on débute ce blog en force ! Je vous annonce que notre très chère ( dispendieuse :P ) SAAQ ma officiellement accordé le droit de circuler en moto sur les belles routes du Québec. Donc pour l'instant je vais profiter de mon droit un peu et dans les prochains jours je vous reviens pour vous dire comment est la vie d'un motard urbain. En attendant voici une carte avec le tracé de ma première balade de 225 km en environ 3 heures 34 minutes !



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